Une fois de plus, les scooters électriques mis à la disposition du FRRA par Jean-Claude MOUTON et sa société Rascal, apparaissent comme un élément de confort et d’ouverture sur l’extérieur tout à fait exceptionnel pour les résidents des Girondines. Voici les commentaires et les photos qu’il a bien voulu nous transmettre pour pérenniser ce moment exceptionnel pour nos aînés : la possibilité de se promener au centre de Lyon, leur ville, « comme avant ».
J.C. Mouton : « je tiens d’abord à remercier les trois membres du personnel des Girondines qui nous ont accompagné dans cette promenade, dont la nouvelle animatrice des lieux : Cyrielle, dont la bonne humeur et l’efficacité, partagées avec ses collègues ont ensoleillé la journée.
Nous avons donc rejoint rapidement les berges aménagées du Rhône en contournant le quartier « Général Frère », puis avons remonté la berge, en passant le long de la piscine et ses quatre tours, et en profitant d’une vue générale sur notre objectif du jour : la visite de l’Hôtel-Dieu réaménagé. Nous sommes passés sous le pont de la Guillotière, pour remonter ensuite le quai Augagneur et traverser le Rhône en passant, cette fois, sur le pont de la Guillotière.
Nous avons pu visiter les cours intérieures du bâtiment, bordées de panneaux décrivant l’histoire des lieux et des médecins qui s’y sont illustrés. Les résidents en ont profité pour faire du lèche-vitrine devant les boutiques de mode qui s’y sont installées.
Nous sommes ensuite arrivés sur la place Bellecour, ce qui a déclenché de nombreuses exclamations et émotions : « ça fait QUARANTE ANS que je n’y suis pas venue ! J’y venais au cinéma avec mon père et ma sœur ! ».
Après une pause goûter, nous avons redescendu la rue Victor Hugo (piétonne), avec un petit arrêt place Carnot, puis avons retraversé le Rhône, non sans difficulté au carrefour Quai Claude Bernard / Avenue Berthelot, qu’on évitera à l’avenir car les trois traversées y sont compliquées et fractionnent le groupe (il n’y a toutefois eu aucun problème de sécurité, chaque scooter ayant bien conservé son accompagnateur).
Nous avons finalement regagné la belle allée protégée Eugénie Niboyet et les Girondines, même pas fatigués car restés bien assis pendant ce long trajet, mais la tête pleine de nouveaux souvenirs, désormais raccordés aux anciens. ».